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 Heaven Aya

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MessageSujet: Heaven Aya   Heaven Aya EmptyDim 16 Juin - 10:14:38



Aya Heaven

« Je fais ce que je veux, ça te dérange ? »


SURNOMLa tatouée ÂGE 20 ans RANG • C RÊVESe débarrasser de ses tatouages, faire disparaître la magie. GUILDEMage Solitaire MAGIEMagie des Tatouages ARME(S)Une simple épée


DESCRIPTION PHYSIQUE


Au premier abord, Aya est une jeune demoiselle plutôt mignonne, avec ses grands yeux gris observant tout d'un air étonné. Elle a constamment besoin de découvrir de nouvelles choses, et a tendance à marcher d'un pas rapide et gai dans les villes qu'elle ne connait pas, voulant tout voir le plus rapidement possible. Elle n'a pas l'air très différente des autres jeunes filles de son âge, bien que son regard puisse paraître un peu nostalgique.
Aya n'est pas très grande, avec son mètre cinquante-cinq, et assez mince. Mais il ne faut pas se fier aux apparences, car elle est également musclée, endurcie par les épreuves qu'elle a dû subir dans le passé. Mais elle a un air fragile, presque délicat, avec son long cou fin, ses épaules fines, sa poitrine discrète, ses hanches étroites, ses longues jambes, et ses petits pieds. 
Quand à son visage, il est ovale, et entouré de longs cheveux noirs de jais lisses qui tombent jusqu'à ses hanches. Ils viennent lui manger une partie de son front, frôlant ses yeux gris. Son petit nez, ses lèvres fines et rosées, et des traits enfantins, lui donnent quelques années en moins.
Côté vêtements, la demoiselle n'y connaissant presque rien, Aya s'habille avec des tenues simples, pratiques pour courir, bouger, ou se battre. N'ayant pas de couleurs préférée pour le moment, elle s'habille avec ce qu'elle trouve. Pas non plus de maquillage ou de bijoux, la jeune fille reste simple. Cependant, elle porte presque toujours une longue cape, afin de cacher ses tatouages, qui ne cessent de s'agrandir, sans qu'elle puisse y faire grand chose. 


DESCRIPTION MENTALE


Après avoir passé des années seule, enfermée dans une prison dorée, Aya veut tout découvrir, et souhaite assouvir sa soif de connaissance. Elle a envie de voir de ces propres yeux les lieux qu'elle n'avait jusqu'à ici que vu dans des livres. Curieuse, elle reste cependant très méfiante vis à vis des autres, ne voulant pas à nouveau se faire manipuler. Du coup, elle a du mal à aller vers les autres, à discuter normalement, ne l'ayant jamais vraiment fait. Mais elle aimerait retrouver une vie normale, et s'y force donc, bien que cela soit difficile pour elle. La demoiselle a entendu parler des guildes, mais ne sait si un jour, elle en fera partie. D'un côté, elle déteste les mages, et la magie, mais de l'autre, elle aura un jour besoin d'un mage puissant pour se débarrasser de ses tatouages. Elle est également indécise sur ce qu'elle va faire, se demandant si elle doit utiliser sa magie pour effacer toute trace de religions, ou si elle  doit retourner le plus vite possible à une vie normale, et sans soucis.
Comme un enfant, la demoiselle a une vision très manichéenne des choses: d'un côté il y a les gentils, de l'autres les méchants. Elle n'aime pas spécialement se battre, mais le fait lorsque la situation l'exige. Elle n'est de toute façon pas très courageuse, un peu craintive de tout ce qui est nouveau, mais serviable envers ceux qui ont besoin d'aide. Rajoutons qu'elle est du genre sans gêne, faisant presque tout le temps ce qu'elle veut. Elle a également tendance à toujours dire la vérité, et cela même si elle est blessante. Parfois, les gens ont tendance à dire qu'elle est impolie. Mais c'est surtout parce qu'on ne lui a jamais enseignée.
Aya venant d'un autre pays, elle a encore du mal avec la langue locale, et a toujours un dictionnaire sur elle, ainsi qu'un petit carnet où elle note les mots nouveaux. Elle n'est pas spécialement intelligente, mais a une très bonne mémoire, ce qui l'aide énormément. Elle est restée très sportive, adorant se dépenser, pour ensuite manger plein de bonnes choses, et surtout de nouveaux plats. 


HISTOIRE


Je n’ai jamais su par où commencer pour raconter mon histoire. Bien sûr, le plus logique serait de commencer par ma naissance. Ou par une belle phrase du genre : « Il était une fois », comme on n’en trouve seulement dans les contes de fées. Or, ma courte vie est tout sauf un conte de fées. Enfin bref, autant commencer par le commencement. C'est-à-dire ma naissance.
Celle-ci fut relativement banale, et passa presque inaperçue dans le petit village où j’étais née. Il faut savoir que dans mon pays, la mortalité infantile est très forte. Aussi personne ne fête les naissances, et les mères essayent de ne pas s’attacher  à leurs enfants en bas âge. Ce n’est que vers ses cinq voire six ans que l’enfant est considéré comme « sauvé », et digne d’être pris de considération. Bien que considération soit un bien fort mot. La plupart du temps, les garçons vont aux champs, rapportant un peu d’argent à leurs parents, tandis que les filles… Toute bonne mère vous dira qu’il n’y a pas plus grand déshonneur que d’avoir un enfant de sexe féminin. A part être là pour aider aux travaux ménagers, nous ne servirions à rien d’autre que d’obliger nos parents à payer une dot pour nous assurer un mariage plus ou moins correct. Aussi, en tant que petite dernière d’une famille comptant déjà deux frères aînés et trois sœurs, ma famille m’a vu d’un très mauvais œil. Je me suis même longtemps demandé pourquoi ils ne m’avaient pas supprimé dès ma naissance. Cela leur aurait évité bien des soucis.
Jusqu’à mes cinq ans donc, j’ai été une sorte de fantôme, que l’on nourrissait, habillait, et dont l’on s’occupait sommairement. Même mes frères et sœurs ne me témoignaient presque aucune considération, et encore moins de la tendresse, alors qu’ils étaient eux aussi passés par cette phase.
Après avoir passé cet âge charnier, j’ai pu participer au travail de la famille activement, en allant aux champs, en m’occupant de la maison autant que je le pouvais vu mon jeune âge, et toute sorte de petits travaux. En parallèle l’une de mes grandes sœurs m’apprenait à lire et écrire, enfin les bases, pour que je sois à peu près cultivée.
 
Un jour, je devais avoir huit ans, alors que je préparais la maigre soupe que nous aurions pour midi, l’un de mes frère est rentré, excité comme une puce. Il m’a demandé d’appeler toute la famille, car tous les habitants du village devaient se rendre sur la grande place. Etonnée, je lui aie demandé pourquoi, mais il en m’a pas répondu et a continué à courir comme un fou. J’ai donc fait ce qu’il m’a demandé, autant parce que j’étais intriguée par son comportement que parce qu’en temps qu’aîné mâle je lui devais politesse et respect.
C’est en arrivant sur la place, en compagnie de pratiquement tous les membres de ma famille mis à part mon oncle qui devait régler quelque chose aux champs, que j’ai compris la raison d’une telle liesse : des membres de la Grande Eglise Unifiée étaient présents. Cas assez exceptionnel. On ne les voyait qu’une fois au cours de sa vie, lors d’un pèlerinage obligatoire. Pourtant, c’était leurs principes qui gouvernaient la vie des habitants de son pays. Il aurait été alors normal qu’ils viennent un peu se pencher sur les misérables que nous sommes. Mais à la place, ils envoyaient des pauvres gueux censés nous renseigner sur leurs principes, alors qu’ils n’en savaient pas plus que nous.
Après que la majorité du village se soit rassemblé, les trois hommes de la Grande Eglise se lancèrent dans un récit pompeux dont je n’ai gardé presque aucun souvenir. C’était tout juste si les adultes comprenaient ce qu’ils racontaient. En tout cas, je crois avoir somnolé car d’un coup l’une de mes sœurs m’a tapé sur l’épaule en me disant qu’il était temps d’y aller, étant donné que les hommes avaient terminé de discuter. Obéissant, je l’ai suivi jusqu’à chez nous. Nous étions les dernières, et j’entendais déjà mes parents se disputer au sujet de ce que les prêtres avaient dit. Comme je m’en fichais, j’allais me coucher avec le reste de ma fratrie.
Le lendemain, ma mère nous convoqua tous, car elle avait une grande nouvelle à nous annoncer. En rapport bien sûr avec l’annonce des prêtres. Ceux-ci cherchaient des enfants, de six à dix ans, pour une tâche inconnue, mais bien sûr couronnée d’honneur pour les parents. Les miens avaient donc tout de suite pensé à moi, étant donné que je leur étais inutile et que j’avais l’âge requis. C’était dans l’après midi que devaient avoir lieu les sélections, et mes parents avaient bien l’intention que je gagne.
 
Ce jour là donc, où devait avoir lieu une première sélection, une grande liesse s’empara des habitants. En effet, être choisi pour cet événement était très rare, qui plus est il n’avait lieu que tous les dix ans. Et c’était également un très grand honneur. Rien d’étonnant à ce que tous les parents veuillent faire « concourir » leurs enfants, même s’ils n’avaient en réalité que peu d’idées sur ce qui se produisait ensuite.
Pour une fois, j’étais vêtue telle une véritable petite princesse, c'est-à-dire avec les plus beau vêtements de mes sœurs, qui ne m’allaient pas vraiment, et qui, à la cour impériale, auraient causé énormément de moqueries. Pourtant, je passais avec un certain succès la première sélection (qui se révélait être surtout une éviction de tous les petits laiderons, selon les normes du prêtre qui choisissait, ce qui pouvait se révéler être assez aléatoire). Ainsi, je pus passer le second test, facile là aussi (un test dit « d’intelligence », où il suffisait de savoir lire et écrire, ce qui était plutôt rare dans nos campagnes paysannes).
Tout ceci me permit de monter à la capitale en compagnie d’autres garçons et filles, pour passer les dernières épreuves. Là bas, tout était synonyme de fêtes et de débauche, ce qui était d’autant plus effrayant pour la centaine de gamins venus de tout le pays que nous étions. Seulement des enfants de paysans, et pas un seul de nobles. Personne ne s’en étonna, car nous étions tous trop impatients à l’idée des dernières sélections. Et les suppositions les plus folles se disputaient. Pour ma part, je m’en fichais. Je voulais juste gagner, quitter ma famille et commencer une nouvelle vie. Bien que je ne sache toujours pas ce qu’il y avait à la clé.
Dès notre arrivée, nous fûmes répartis dans des groupes de dix, où nous devions prouver entre autre notre force, notre ruse, notre intelligence, mais aussi notre grâce et nos charmes. Nous essayions tous de nous dépasser, dans l’espoir de pouvoir peut-être quitter notre vie misérable. Les épreuves durèrent une dizaine de jours, ce qui se révéla assez fatiguant. Chaque soir, nous peinions à avaler le maigre repas qu’on acceptait de nous donner, puis nous nous écroulions sur nos lits. Et, à chaque fois, des enfants repartaient chez eux. J’espérais ne jamais faire parti de leur nombre.
Ainsi, quand le jour des résultats fut arrivé, la centaine de gamins fébriles posaient des yeux fiévreux sur le grand prêtre chargé d’annoncer le vainqueur. Il commença par un long discours, extrêmement ennuyeux, puis annonça le nom du gagnant. Et se fut sur moi que se porta son choix. J’étais folle de joie, et j’aurais voulu me réjouir avec les quelques amis que j’avais réussi à avoir. Mais ce ne furent que des regards de pure haine et de jalousie qui répondirent à mes attentes. J’espérais que ce que j’avais gagné compenserais ce que j’avais perdu. Mais il n’en fut rien.
Acclamée par la foule, j’eux enfin ce que je désirais, ou plutôt ce que je croyais désirer : J’étais sélectionnée, certes, mais pour quoi ? La réponse me fut donnée quelques temps plus tard, lorsque le prêtre m’expliqua avec sérieux le rôle que j’avais à tenir : être une sorte d’élue, qui vivrait dans le temple de la capitale jusqu’au jour où je serais sacrifiée à la gloire de leur dieu. A ce moment là, je n’étais pas du tout d’accord, mais le mal était fait. J’allais être condamnée à vivre dans une prison doré jusqu’à ma mort.


Pendant plusieurs mois, je tentai de m'échapper, mais sans aucune succès. Les prêtres me ramenaient à chaque fois dans ma chambre, le sourire aux lèvres, mais avec une poignée de fer. Passés les premiers temps de la rébellion, je passai à une calme résolution, qui était cependant feinte. Je cherchai sans relâche un moyen de m'enfuir, élaborant des plans, attendant le moment propice.
Mais ce moment n'arriva jamais. Plusieurs années se passèrent, dans un luxe relativement faste. J'obtenais tout ce que je voulais, et les prêtres me laissaient tranquille. J'avais l'occasion de lire, de m'instruire autant que je le voulais, et surtout de découvrir les merveilles du monde extérieur, dont je rêvais chaque nuit. Je voulais voir tout ceci de mes propres yeux, mais cela était impossible. En parallèle, je pratiquais beaucoup d'exercices physiques, ne voulant pas devenir grosses et incapable de me mouvoir rapidement. Les prêtres me faisaient beaucoup manger, et je devais éliminer tout cela. Je gardais l'espoir qu'un jour, je partirai d'ici, et explorerai le monde entier. C'est sans doute cet espoir qui m'a permis de tenir...
Il y avait cependant un gros point négatif: des séances au départ hebdomadaires, puis quotidiennes, au cours desquels les prêtres s'occupaient de moi, sans que je ne me souvienne de rien. Je remarquais seulement que des tatouages sur mes bras apparaissaient petit à petit, s'allongeant de plus en plus. Je ne comprenais pas trop à quoi est-ce qu'ils allaient servir: était-ce une tradition, pour montrer que j'étais une sorte d'élue ? Ou pour me démarquer ? Je finis par ne plus les remarquer, jusqu'à ce qu'ils commencent à me causer de violentes douleurs. Ma peau me brûlait, me démangeait, sans que je puisse y faire quelque chose. J'essayais de me gratter jusqu'au sang, mais rien n'y fit. Personne ne voulut me révéler d'où venait cette souffrance, bien que je ne cessais de questionner tous les prêtres que je rencontrais. Les tatouages atteignirent bientôt mes épaules, et la souffrance ne cessait de croître. Pour me rendre la vie plus facile, on commença à me droguer, et je ressentis d'étranges sensations, comme dans un rêve.
Finalement, se fut au cours d'un entraînement, où j'étais à peu prêt conscient, que j'appris la vérité sur ces tatouages. J'étais en train d'apprendre à manier une épée, chose à laquelle je n'avais jusqu'ici montré que peu de talent. En frappant trop fort, je blessai accidentellement l'homme avec qui je m’entraînais, et du sang gicla sur mes tatouages. La douleur émanant de ceux-ci diminua alors légèrement, les tatouages passant du blanc au noir, et les prêtres surveillant mes exercices parurent satisfaits. Ils ordonnèrent que l'on tue mon entraîneur, pour que mes tatouages soient aspergés de son sang. J'en fus répugnée, effrayée, et triste, cet homme étant l'un des seuls à me témoigner un peu d'amitié. Mais la douleur disparut complètement, et je commençait à comprendre que les choses allaient empirer. 

Le grand prêtre apprit rapidement la nouvelle, et je fus convoquée  dans son bureau afin qu'il m'explique l'origine de ces tatouages. Il s'agissait d'un sang magique, provenant d'une quelconque créature, et dont ils se servaient pour "marquer" leurs élus. Quand ceux-ci atteignaient la maturité nécessaire, ils étaient sacrifiés au nom de leur dieu, et la magie de la créature venait le renforcer. Ainsi, quand ce dieu aurait accumulé assez de magie, il pourrait se réincarner sur leur terre, promettant l'arrivée d''une ère de réjouissance et de bonheur. Les tatouages avaient besoin de sang pour se développer, qui devait être prélevé de n'importe quel être vivant.
Je ne fus pas très heureuse d'entendre tout cela. Entre le fait que j'allais être sacrifiée pour un soi-disant dieu, et que mes tatouages demandaient du sang, tel un vampire, je commençais à me demander si ces prêtres n'étaient pas un peu fous. Le grand prêtre me demanda avant de me congédier de tenter d'activer les tatouages, en utilisant leur magie. Si j'y parvenais, cela voulait dire qu'ils étaient mûrs, et que le sacrifice pouvait avoir lieu. En revenant dans ma chambre, je décidai de m'entraîner encore plus, et de tout faire pour ne pas me faire tuer. Tout ceci me paraissait trop  injuste, et irréaliste. Mais en contemplant les tatouages, je me demandai si ils pourraient me servir. Après tout, ils étaient censé contenir une puissante magie. Mais seraient-ils enclins à coopérer ?

Des années passèrent à nouveau, se ressemblant beaucoup. Je passais mon temps à apprendre à manier une épée, sans y montrer un quelconque talent. Car bien que les tatouages commençaient à montrer leur potentiel, il m'arrivait de ne pas réussir à les contrôler. Ceux-ci finirent par dépasser mes épaules, atteignant mon torse, puis mon dos. Je me demandais si un jour, ils recouvriraient tout mon corps. Une servant passa un jour dans ma chambre à l'improviste, et vit ce que j'étais capable de faire. Elle en informa les prêtres, et en remerciement eut la tête tranchée. Personne ne devait savoir que l'élue était prête. Une céréminie fastueuse fut organisée alors, et l'on ne me laissa plus seule. Outre les prêtres, la noblesse fut invitée. L'empereur ne put se déplacer, mais promit d'être présent pour le prochain sacrifice. Je fus conduite au coeur du grand temple, magnifique et richement décoré. Mais alors que la cérémonie battait son plein, les tatouages se mirent à briller, et la magie s'activa. Je ne sais trop comment je réussis alors à m'échapper, étant dans une sorte de transe. Les tatouages prirent la situation en main, ne voulant sans doute pas disparaître maintenant. Cela me fit un peu peur: Avaient-ils leur propre volonté ? Celle de la créature dont ils étaient tirés ?

Après plusieurs jours de cavale, je pus trouver un navire, m'emmenant loin de ces terres aux mœurs bien étranges. Pour la première fois libre, je ne sus trop que faire. Où aller ? Quelle direction donner à ma vie ? J'y réfléchis longuement, puis décidai de commencer par supprimer mes tatouages, pour revenir à une vie normale, bien que je ne sache pas trop ce que cela voulait dire. J'avais bien envie de me venger, de détruire les religions, et la magie, qui causait tant de souffrances. Mais je doutais d'être assez forte pour cela.





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MessageSujet: Re: Heaven Aya   Heaven Aya EmptyDim 16 Juin - 10:41:40

Yosh. Bienvenue à toi Heaven. Te faut un avatar et il faut que tu remplisses ton profil avant de commencer ta présentation. N'hésite pas à voter pour le forum sur les top-sites.
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MessageSujet: Re: Heaven Aya   Heaven Aya EmptyDim 16 Juin - 11:25:07

Bienvenue sur le forum et bon courage pour ta présentation ! =)
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MessageSujet: Re: Heaven Aya   Heaven Aya EmptyLun 17 Juin - 7:41:21

Merci pour votre accueil :3

Edit: Fiche terminée.
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MessageSujet: Re: Heaven Aya   Heaven Aya EmptyLun 17 Juin - 10:29:31


Tout est en ordre pour ta validation. Voici tes résultats.

PHYSIQUE : B ─ C'est pas trop mal, c'est agréable à lire et tu détailles tout ce qui doit l'être. Quelques fautes d'inattention pas bien grave. La qualité demandé est donc là. Tes 8 lignes tu les as largement faites. Rien à redire sur cela. La syntaxe n'est pas trop mal et il n y a rien de bien confus, donc tu as largement mérité ton B.

MENTAL : C - Comme pour le Physique, quelques fautes 'd'inattentions pas bien grave (surtout pourquoi mettre une virgule avant « et » ?). Mais là contrairement au Physique le détail n'est pas trop là, tu ne racontes pas ce qu'elle pense de sa famille. Tu ne dis pas non plus ce qu'elle pense de ce sacrifice. Les 8 lignes sont là avec une bonne syntaxe. 

HISTOIRE : B - Le B est largement mérité avec une bonne quarantaine de lignes (ou plus j'ai pas compté). Agréable à lire, on a presque envie de connaitre la suite de l'histoire. Tu te mêles un peu les pinceaux niveau conjugaison mais rien de vraiment très grave. Une bonne syntaxe qui fait toute la fraicheur de l'histoire. L'histoire est d'une originalité si époustouflante que je vais pleurer. 

MOYENNE : C - Le C est bien mérité, je t'aurais bien donné le B afin de t'encourager à t'investir sur le forum (surtout que tu étais pile entre B et C) et aussi parce que le forum vient d'ouvrir mais comme tu l'as dit toi même Heaven ne connait presque rien à sa magie donc un niveau C est amplement suffisant. 


Je te pré-valide donc. Là tu dois aller faire ta fiche technique pour être définitivement validé. Tu n'as pas besoin de faire l'étape 3 étant donné que tu es une mage solitaire. 

Bienvenue sur Fairy Tail Soyokaze, amuse toi bien parmi nous. 
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